Informazioni che faticano a trovare spazio

Sabato liberano Aung San Suu Kyi?

Forse sabato lib era Aung San Suu Kyi. I militari avrebbero predisposto la liberazione dell’ostaggio politico, da realizzare all’indomani delle elezioni farsa appena concluse. La rivelazione da fonti riservate in un articolo di Le Monde del 10.11.2010:

La junte birmane s’apprêterait à libérer Aung San Suu Kyi

LEMONDE.FR avec AFP | 10.11.10 | 21h11

Des sources officielles birmanes ont indiqué mercredi 10 novembre que les services de sécurité du pays étaient en train de préparer la libération d’Aung San Suu Kyi. Les dix-huit mois de résidence surveillée que purge la lauréate du prix Nobel de la paix, qui symbolise depuis plus de vingt ans la résistance démocratique en Birmanie, prendront fin en principe samedi.

“Nous n’avons pas encore reçu d’instructions de responsables supérieurs à propos de sa libération. Mais nous préparons le plan de sécurité pour le 13 novembre”, a indiqué un responsable sous couvert de l’anonymat. L’ordre tombera “à la dernière minute”, a estimé pour sa part une autre source.

La libération de l’opposante interviendrait ainsi quelques jours après les premières élections depuis vingt ans, organisées dimanche. Elles ont été rejetées par l’Occident et l’opposition, qui dénoncent des fraudes. Un cadre du parti projunte a revendiqué mardi environ 80 % des sièges dans les futures assemblées.

UNE OPPOSANTE ISOLÉE DANS SON PAYS

Les observateurs estiment depuis des mois que le régime du généralissime Than Shwe finira par libérer Aung San Suu Kyi, qu’il a pris soin d’écarter pour le scrutin. Mais ils soulignent aussi que cette décision relève uniquement de l’homme fort de la junte, qui la déteste et qu’il l’a déjà par deux fois laissée sortir avant de l’enfermer à nouveau.

En mai 2009, Aung San Suu Kyi était libérable lorsqu’un illuminé américain a réussi à nager jusqu’à son domicile de Rangoun, situé sur les rives d’un lac. En août, elle était condamnée à dix-huit mois supplémentaires de résidence surveillée.

A la veille d’une probable sortie, le Prix Nobel de la paix, dont l’aura internationale demeure importante, est aujourd’hui très isolée dans son pays. Sa victoire de 1990 semble lointaine, lorsque son parti, la Ligue nationale pour la démocratie (LND), avait triomphé aux élections législatives.

Le résultat n’a pas été reconnu, et l’opposante n’a jamais eu le pouvoir, passant quinze des vingt et unes dernières années privée de liberté. Mais sa victoire lui avait conféré une légitimité en Birmanie et à l’étranger, que la junte a voulu briser avec un nouveau scrutin.

Les cadres de la Ligue ont indiqué mercredi qu’elle organiserait une conférence de presse, après une sortie dont ils disent ignorer la date. “Nous avons posé la question aux autorités oralement. Ils n’ont pas répondu. Nous allons donc le leur demander par écrit”, a indiqué Nyan Win, son porte-parole.

Le président français, Nicolas Sarkozy, a de son côté appelé mercredi la junte birmane à respecter son engagement de libérer samedi Aung San Suu Kyi, ainsi que les autres prisonniers politiques birmans, à l’issue d’une entretien sur le sujet avec des ONG.

Ultimi

Un milione e mezzo i bambini ucraini “inghiottiti” dalla Russia

Un milione e mezzo di bambini e adolescenti ucraini...

Ancora dossieraggi e schedature

Tornano dossier e schedature. Il video che è stato...

Podlech, il Cile lo ha condannato all’ergastolo

ERGASTOLO CILENO PER ALFONSO PODLECHI giudici cileni hanno aspettato...

Era ubriaca…

“Era ubriaca, così ha favorito chi le ha fatto...