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Hollande e altri tre candidati all’Eliseo firmano il patto con la Fondation Abbé-Pierre: 500 mila case all’anno, 150 mila popolari

Francia, quattro candidati all’Eliseo (Hollande in testa) firmano il contratto sociale proposto dalla Fondazione Abbé Pierre. 500 000 case in un anno, di cui 150,000 popolari, l’articolo di Le Monde del 1.2.12 (nella foto l’Abbé PIerre nel ’54):
Quatre candidats signent le “contrat social” de la Fondation Abbé-Pierre
LEMONDE.FR | 01.02.12 | 18h25   •  Mis à jour le 01.02.12 | 21h12

La Fondation Abbé-Pierre a réussi son pari. Mercredi 1er février, Eva Joly, Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou et François Hollande ont signé le “contrat social pour une nouvelle politique du logement”, qui les engage à faire du logement “un des axes prioritaires” de leur politique et à mettre en œuvre la dizaine de mesures énumérées dans le document.
Des propositions aussi fortes que la construction de 500 000 logements par an “dont 150 000 vraiment sociaux”, le renforcement de la loi SRU (solidarité et renouvellement urbain) ou l’encadrement des loyers, notamment à la relocation, y figurent. C’est donc avec une certaine solennité que les quatre candidats à la présidentielle ont apposé leur paraphe, et justifié leur décision.
“Je prends cette signature au sérieux. Je ne suis pas un signeur automatique. Je signe car c’est une guerre que nous avons à livrer”, a expliqué François Bayrou. Interrogé sur son programme, le candidat du Modem a tenu à prendre de la distance avec l’encadrement des loyers, une des mesures chocs du “contrat”. “Mon objectif chiffré est contenu dans le contrat social de la Fondation que je vais signer. Même si je nuance l’encadrement des loyers : je préférerais un observatoire zone par zone qui soit opposable”, a-t-il précisé.
M. Bayrou a profité de la tribune offerte par la Fondation pour dérouler son programme sur le logement. Partant du principe que la tension sur le marché immobilier n’est pas la même partout, il plaide en faveur d’une “autorité publique qui puisse agir au niveau de la région pour identifier les points de blocages”. Un “préfet cohésion sociale et logement” aurait pour mission dans ces zones en tension de faire appliquer la loi SRU et de sanctionner les plus récalcitrants. “A la place des amendes dont certaines villes se moquent parce qu’elles sont riches, il faut d’autres pressions comme des blocages de dotations de l’Etat”, a suggéré le candidat du Modem. Autre proposition : la mise en place d’une mutuelle d’initiative publique pour couvrir les risques locatifs, comme les impayés par exemple.
Avant lui, Eva Joly et Jean-Luc Mélenchon avaient présenté leur feuille de route, ce dernier faisant assaut de mesures beaucoup plus radicales que celles demandées par la Fondation Abbé-Pierre comme la baisse des loyers, la réquisition des logements vacants, la trêve des expulsions, un tarif social sur l’eau et l’électricité… “Je vais signer le contrat mais je vais rajouter un avenant”, a plaisanté M. Mélenchon.
Très applaudi, François Hollande est intervenu en dernier. Le candidat socialiste a lui aussi énuméré les mesures phares de son programme (encadrement des loyers, hausse de la loi SRU, multiplication par 5 des sanctions, construction de 2,5 millions de logements durant le quinquennat dont 150 000 logements très sociaux…). “Ce que je signe, je le ferai, a-t-il déclaré. Je ne vais pas sortir de ma poche une nouvelle proposition. En matière de logement, il faut du temps long et de l’urgence, je viens signer ce contrat pour les deux.”
Plus tôt, interrogé sur les expulsions, il avait affirmé ne “pas vouloir les interdire”, une réponse accueillie par quelques sifflets. L’arrivée d’Henri Guaino, venu représenter le président de la République, a été troublée par un incident. Alors que François Hollande se prêtait à l’exercice de la signature officielle, il s’est fait asperger de farine par une femme.
Le président de la Fondation Abbé Pierre, Patrick Doutreligne, a protesté contre ce geste. Il a également condamné les huées qui ont accompagné la présentation du conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, Henri Guaino. M. Guaino s’est attaché à défendre le bilan du président de la République, reconnaissant néanmoins quelques erreurs, notamment la mise en place du dispositif Scellier, aujourd’hui supprimé. Interrogé sur l’éventuel signature du “pacte” par le président de la République, il s’en est tiré par une pirouette : “S’il est candidat, M. Doutreligne lui proposera sûrement de le faire, et il verra bien la réponse.”
Catherine Rollot

L’Abbé Pierre, religioso francese, partigiano, fondatore dei Compagnons d’Emmaus, in prima fila per i diseredati e i senza casa, morto cinque anni all’età di 95 anni. La sua più forte battaglia in Francia  è legata all’inverno del 1954, molto rigido, che diventò per l’Abbé un’occcasione straordinaria di mobilitazione popolare a favore dei più poveri

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