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I francesi, niente aiuti per Pompei

Niente aiuti francesi per Pompei. La Defense li nega. Le Monde spiega:

La Défense ne volera pas au secours de Pompéi

Le Monde.fr | 03.07.2012 à 16h18 • Mis à jour le 03.07.2012 à 16h18

Par Valentine Pasquesoone

C’était une promesse très attendue des Italiens, mais visiblement mal comprise. Alors que l’Italie attendait 5 à 10 millions d’euros par an de l’établissement public d’aménagement de La Défense-Seine-Arche (Epadesa) pour la restauration de Pompéi, ce financement ne verra finalement pas le jour.

La présidente du conseil d’administration, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, l’a confirmé le 12 mars dernier, mettant fin à plusieurs mois de négociations et d’attentes. Ce qui n’a pas manqué de faire réagir la presse italienne, déçue d’une “terrible volte-face” française, relate Courrier International. Le quotidien italien Il Corriere della Serra s’est insurgé, estimant que “les Français ne nous respectent pas” ; La Repubblica apour sa part dénoncé une France qui “se défile” derrière ses promesses.

“IMPENSABLE DE DONNER DE L’ARGENT A L’ÉTRANGER”

En réalité, l’idée de l’Epadesa n’était pas de financer directement la restauration de Pompéi, mais de “mobiliser” les entreprises de La Défense – réunies au sein de l’association AUDE – pour que celles-ci mécènent un projet de restauration du site. Pompéi, qui est classé au patrimoine mondial de l’Unesco depuis 1997, a en effet souffert d’effondrements importants en 2010 et 2011.

Le directeur général de l’Epadesa, Philippe Chaix, avait ainsi annoncé, le 29 novembre dernier : “Nous allons essayer de réunir 5 à 10 millions d’euros par an” pour la préservation du lieu. “Il nous apparaît tout à fait judicieux que La Défense (…) tende la main à la cité antique de Pompéi, qui souffre”, avait-il déclaré, sans toutefois évoquer de financement direct de la part de son établissement.

“Nos statuts nous l’interdisent, il est impensable d’aller donner de l’argent à l’étranger !”, réagit Dominique Boré, directrice de cabinet et de la communication à l’Epadesa. “L’Epadesa n’est pas riche, et nous n’avons aucune légitimité pour demander de l’argent aux entreprises. Tout ce que nous avons fait, c’est de proposer aux entreprises de soutenir le projet”, se défend-elle.

DIX ANS DE RESTAURATION

La déclaration de l’Epadesa, le 29 novembre 2011, a eu lieu le même jour que l’annonce d’une coopération entre l’Unesco et l’Italie, pour un plan de restauration de Pompéi en dix ans.

Financé à hauteur de 105 millions d’euros par l’Union européenne, ce projet prévoit également la contribution de sponsors privés, “nationaux et internationaux”. “L’Unesco jouera un rôle de facilitateur dans la rencontre entre le site et les sponsors privés”, avait alors annoncé Francesco Caruso, conseiller spécial à l’Unesco.

C’est dans ce cadre que l’Epadesa est intervenue. L’établissement public a été contacté par Patrizia Nitti, directrice artistique du musée Maillol, à Paris. Celle-ci avait déclaré à l’AFP être à l’origine du mouvement auprès de l’Unesco et de l’Epadesa. Passé l’effervescence des débuts, ce beau rapprochement n’aura donc pas tenu toutes ses promesses.

Valentine Pasquesoone

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