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Radio Kalima, i morti sono 80. A Roma immigrati sotto l’ambasciata

Un morto a Tunisi, dove nella notte il coprifuoco non è stato rispettato dai giovani manifestanti. Ma secondo Radio Kalima sono ormai 80 i morti dall’inizio della rivolta. 66 i nomi identificati delle vittime dalla Federation droits de l’homme (Fidh). A Roma manifestazione sotto l’ambasciata di via Asmara.

Radio Kalima, 80 morti.

Selon des informations de sources indépendantes sur place en Tunisie, plus de 80 personnes ont été tuées depuis le début de la contestation.
La Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH) parle d’un bilan qui s’établit désormais à 66 morts identifiés depuis le début des troubles, mi-décembre. L’organisation affirme détenir une liste nominative de ces 66 personnes tuées.

Parmi les victimes, un universitaire franco-tunisien de 38 ans, professeur à l’université de Compiègne, tué par balles, mercredi, dans la ville de Douz. Jeudi, le ministère des affaires étrangères suisse a de son côté confirmé la mort d’une de ses ressortissantes : selon la Radio suisse romande, il s’agit d’une infirmière d’origine tunisienne de 65 ans, atteinte par une balle alors qu’elle se trouvait sur un balcon dans la ville de Dar Chaabane.

Mejdi Nasri, la vittima di Tunisi.

L’armée s’est retirée, jeudi 13 janvier, de Tunis où des unités spéciales de la police ont pris place dans le centre. Des blindés et des unités d’intervention de la police ont remplacé ceux de l’armée sur l’avenue centrale Habib Bourguiba et sur la place Barcelone, près d’un grand terminus des trains de la banlieue sud et du tramway. Seuls deux véhicules de l’armée avec des soldats en armes éaient encore postés sur la place Ibn Khaldoun, face à l’ambassade de France.

De violents affrontemements ont opposé les forces de sécurité à des jeunes dans la banlieue de la capitale dans la nuit de mercredi à jeudi malgré le couvre-feu imposé dans la capitale tunisienne et ses environs, ont indiqué à l’AFP des témoins. Deux témoins indiquent qu’un homme de 25 ans a été tué par balles lors d’affrontements avec la police au cours de la nuit de mercredi à jeudi dans un faubourg de Tunis. Les témoins indiquent que le jeune homme, Mejdi Nasri, a été tué d’une balle dans la tête lors d’une confrontation avec la police dans le faubourg d’Ettadamen.

Les affrontements de la nuit se sont produits dans les cités d’Ettadhamen et Intilaka, où vivent quelque 30 000 habitants, à environ 15 km du centre de Tunis. “Toute la nuit, on a entendu des tirs, des cris et des bruits de casse”, a déclaré à l’AFP une infirmière. Elle a expliqué que “les incidents ont démarré hier après-midi pendant un rassemblement qui a ensuité dégénéré en affrontements violents entre forces de sécurité et des jeunes”. Des colonnes de fumée s’échappaient encore jeudi matin de deux bâtiments et les pompiers étaient à l’oeuvre pour éteindre l’incendie. Plusieurs bâtiments municipaux ont été partiellement endommagés et deux voitures ont été incendiées devant les locaux de la sous-préfécture. Des commerces et une pharmacie de nuit ont également été endommagées et les rues étaient jonchées de débris, a constaté l’AFP.

Les autorités tunisiennes ont imposé un couvre-feu nocturne pour une durée illimitée, la première mesure de ce genre depuis l’arrivée au pouvoir du président Zine El Abidine Ben Ali en 1987. Les forces de l’ordre ont quadrillé la capitale tunisienne, dont les rues sont restées vide de 20 heures à jeudi 5 h 30. Mercredi, des manifestants et des forces de l’ordre s’étaient violemment affrontés pour la première fois dans le centre de Tunis et trois civils ont été tués en province dans un contexte contestation du régime qui a déjà fait des dizaines de mort  s depuis un mois en Tunisie.

Roma, ancora immigrati sotto l’ambasciata di via Asmara, in appoggio ai manifestanti in patria.

Questo un comunicato appena emesso: “Siamo cittadini e cittadine tunisini che vivono a Roma e stiamo manifestando sotto l’ambasciata del nostro paese per chiedere al
governo il rispetto dei diritti e della democrazia. la rivolta che c’è
nelle città del paese non è per il pane ma è per la libertà che il
regime non garantisce. voglimao che cessi la repressione subito e che
vengano rilaciate tutte le persone che sono state fermate. chiediamo
al governo libertà di espressione e di dissenso, in altre parole
democrazia. le forze dell’ordine non permettono a noi di avvicinarci
all’ambasciata qui a roma per mostrare la nostra solidarità ai
manifestanti e contrarietà al comportamento del governo”.

i manifestanti tunisini a roma

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