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Tunisia, bilancio Onu: ci sono stati 219 morti e 510 feriti

L’Onu ha contato i morti e  i feriti della rivolta tunisina. Sono 219 le vittime e 510 i feriti (nella foto la prima vittima, Bouazizi, che si è dato fuoco il 17 dicembre). Su Libération dell’1.2.2011:

Tunisie: l’ONU recense 219 morts et 510 blessés lors du soulèvement

Deux cent dix-neuf personnes sont mortes et 510 ont été blessées durant les violences ayant conduit à la chute du président tunisien Zine El Abidine Ben Ali le 14 janvier, a annoncé mardi à Tunis le chef de la mission du Haut Commissariat aux droits de l’homme de l’ONU.

Lors d’une conférence de presse, Bacre Ndiaye a précisé que 147 personnes avaient trouvé la mort depuis le début des troubles en Tunisie à la mi-décembre, ainsi que 72 personnes dans des prisons. “Selon les derniers chiffres retenus, il y a eu 147 personnes tuées et 510 blessées. Ces chiffres n’englobent pas les victimes des prisons“, a-t-il déclaré au cours d’une conférence de presse.

M. Ndiaye a précisé que ces chiffres étaient encore “provisoires” et que l’ONU poursuivait ses enquêtes. Le précédent bilan de l’ONU faisait état le 19 janvier d'”au moins 100 morts“, résultant “de tirs ainsi que de suicides de protestation et des émeutes dans les prisons“.

Le gouvernement tunisien avait annoncé le 26 janvier que 74 détenus étaient morts au cours du mois de soulèvement populaire, dont 48 dans l’incendie de la prison de Monastir (centre-est).

La mission de l’ONU, arrivée le 27 janvier, a pu visiter deux prisons à Bizerte, au nord-ouest de Tunis, et a constaté “un retour à la normale” dans leur fonctionnement, après une période de trouble marquée par “des évasions, des incendies, des accrochages” meurtriers, a indiqué M.Ndiaye.

Ben Ali a «les mêmes droits que les autres Tunisiens»

L’Etat tunisien était un Etat policier. Il y a eu des abus de l’appareil sécuritaire qui doit être réformé en profondeur. Le système sécuritaire doit travailler pour le peuple et pas contre lui“, a insisté le représentant onusien.

Il a toutefois souligné que les membres de la famille du président déchu Zine El Abidine Ben Ali avaient “les mêmes droits que les autres Tunisiens“. “Les enfants (du clan Ben Ali) ne doivent pas payer pour leurs parents. Leur nom ne doit pas être un crime“, a-t-il insisté.

Nous sommes convaincus que beaucoup de choses ont changé en Tunisie, notamment au niveau de la liberté d’expression“, a aussi souligné M. Ndiaye, avant d’ajouter que le nouveau gouvernement de transition serait “jugé sur ses actes“.

Le Haut commissaire aux droits de l’homme de l’ONU a réclamé à plusieurs reprises depuis le 12 janvier des enquêtes “indépendantes crédibles” sur les violences en Tunisie, faisant état d’informations sur un “recours excessif” à la force par les services de sécurité, y compris après le départ de Ben Ali.

Interrogé sur la présence de milices et/ou d’anciens membres du RCD, le parti de l’ex-président, parmi des groupes de jeunes se livrant à des pillages dans plusieurs villes du pays, il a répondu n’avoir “pas d’éléments concernant ces milices“.

Il y a des éléments qui ont essayé de semer le trouble. On sait seulement qu’il y a eu des arrestations et que des enquêtes sont en cours“, a-t-il ajouté.

(Source AFP)

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