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Parigi sorvolata la scorsa notte da “droni” sconosciuti. L’allarme lanciato da Libération

Parigi sorvolata da “droni” sconosciuti la scorsa notte. Ne dà notizia Libération stasera in apertura del sito del giornale. Libération dice che sono stati avvistati anche dalle forze dell’ordine ma che non c’è equipaggiamento per intervenire.  Gli avvistamenti intornbno a mezzanotte e poi alle 4,30 del mattino. Esclusi Greenpeace e al momento la pista terroristica (incrociando le dita), non si sa chi ci sia dietro.

L’articolo di Libération del 24.2.15:

Paris survolé par des ovnis

PIERRE ALONSO 24 FÉVRIER 2015 À 20:06

HISTOIRE

Les drones, repérés dans la nuit de lundi à mardi, n’ont pas encore été identifiés par les forces de l’ordre, qui sont mal équipées pour faire face à de telles menaces potentielles.

Les survols de drones continuent. Lors de la nuit de lundi à mardi, plusieurs objets volants, identifiés comme des drones par les gendarmes et policiers témoins, se sont promenés dans le ciel parisien. Au nez et à la barbe du gouvernement.

Que s’est-il réellement passé ?

D’après les premiers éléments de l’enquête, des survols ont été aperçus à trois reprises. Entre 23 h 50 et 00 h 03 d’abord. «Des gendarmes en faction devant l’ambassade des Etats-Unis voient un drone survoler le bâtiment. Il se dirige ensuite vers le Champ de Mars et les Invalides», raconte une source judiciaire. Nouvelle alerte deux heures plus tard, entre 1 h 50 et 2 h 04. «Des policiers, cette fois, voient passer un drone sur la tour Eiffel. Il va ensuite avenue de Suffren, puis prend la direction d’Issy-les-Moulineaux [Hauts-de-Seine, ndlr]», ajoute la même source. La suite est plus confuse. Entre 4 h 50 et 5 h 50, des policiers «auraient vu»des drones un peu partout dans Paris : tour Eiffel à nouveau, place de la Bastille, Palais de justice, tour Montparnasse, place Beauvau (où est situé le ministère de l’Intérieur), rue du Faubourg-Saint-Honoré (soit à proximité de l’Elysée). Un responsable policier précise qu’au moins «quatre vols de drones simultanés» ont été repérés, dont deux par des policiers. Ceux-ci ont suivi l’un d’eux, mais n’ont procédé à aucune interpellation. Les drones ont à nouveau disparu dans la nuit.

Les auditions des témoins, réalisées toute la journée de mardi, devraient permettre d’affiner la chronologie. Le parquet de Paris a ouvert une enquête de flagrance pour«vol par aéronef en zone interdite», confiée à la gendarmerie des transports aériens (GTA). Ces enquêteurs spécialisés travaillent déjà sur le survol de l’Elysée, observée le 20 janvier. Pour l’heure, «aucun rapprochement» n’est fait entre ces deux incidents.

Quelles pistes suivent les enquêteurs ?

C’est le brouillard. Un commissaire, cité par l’AFP, indique que «la piste terroriste semble écartée». Mais les possibilités restent nombreuses. Après l’épisode du survol des centrales nucléaires, les regards se sont tournés vers les militants écologiques, notamment Greenpeace. Mais l’ONG a démenti. Pour l’instant, on en est réduit aux supputations. De simples amateurs ? Des amateurs avertis alors : le vol hors vue de nuit est techniquement complexe. Ou des professionnels de l’agitation.

Quelle est la réaction des autorités ?

Mardi, les autorités étaient plutôt discrètes, renvoyant vers le Secrétariat général de la défense et de la sécurité nationale (SGDSN), qui dépend de Matignon. Le ministère de la Défense précisait néanmoins «poursuivre son travail avec les industriels sur les capacités de détection». Avec la multiplication des survols d’installations sensibles, le SGDSN a en effet lancé un chantier «sur la protection contre les actes de malveillance de drones aériens». Le plan s’articule autour de trois axes. La place Beauvau récupère le volet juridique et la coordination des forces (armée de l’air, gendarmerie, police). «L’évaluation des risques et menaces» incombe au ministère de l’Ecologie. Et le ministère de la Défense pilote la réponse «opérationnelle» pour déterminer quelles technologies de détection et de brouillage peuvent être employées.

Comment neutraliser les drones ?

Pour l’heure, c’est l’angle mort qu’exploitent les pilotes responsables des survols. Le secrétaire général de la défense et de la sécurité nationale, Louis Gautier, l’a reconnu fin novembre devant une commission de l’Assemblée : «Nos moyens de surveillance aérienne et le maillage de notre réseau radar ne permettent pas de détecter aisément ce type d’engins en raison de leur altitude de survol et de leur faible signature.» Bertrand Slaski, de l’entreprise de conseil en stratégie CEIS, explicite :«Les mini-drones ont une signature thermique, acoustique et radar trop faible pour les moyens employés actuellement.» Un appel à projets Flash a ainsi été lancé en décembre par l’Agence nationale de la recherche et vient d’être clos. Un million d’euros a été engagé afin d’«évaluer les réponses pour […] la détection, la géolocalisation, l’identification, voire la neutralisation des drones aériens de faibles dimensions».

A Paris, les forces de l’ordre ont reçu comme consigne de se concentrer sur la recherche du pilote. Elles ne peuvent ouvrir le feu sur les engins volants. Sauf pour des événements exceptionnels, type défilés, pendant lesquels les policiers pourraient recourir «à des super-flashball ou des filets pour les neutraliser», ajoute un responsable de la police.

Par Pierre ALonso

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